Collaborations scientifiques

L’UMR BIOGECO met en place et développe des projets de collaboration avec des partenaires académiques et socio-économiques.

>Au plan international, 72% (et 29%) de nos publications sont co-signées avec au moins 1 (et 3) pays étrangers. Nous co-publions avec des chercheurs de 79 pays de par le monde, mais essentiellement avec des pays européens (CSIC, INIA et CREAF en Espagne, WSL en Suisse, CNR en Italie, SLU en Suède, Universités de Freiburg, Ulm, Londres, Gand, Liège, Lisbonne, Copenhague, Wageningen, Sydney pour ne citer que les principaux centres de recherche), les Etats-Unis, le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande.

WoS 1.1.2014-5.6.2019 (corpus disponible ici)

collaboration internationales (corpus 1.1.14-4.6.19)

collaborations européennes (corpus 1.1.14-4.6.19)

Au niveau Européen, nous avons coordonné plus de 25 projets collaboratifs et réseaux d’échanges internationaux. Parmi les projets européens récents, nous coordonné les projets HOMED (coord. H Jactel et ML Desprez-Loustau) TREEPEACE (ERC , A Kremer) et avons participé aux projets GENTREE, SAMFIX et B4EST. Nous coordonnons actuellement les projets OptFOREST (S. Gonzalez Martinez) et WildE (A Hampe) et participons à FORGENIUS. Nous avons par ailleurs créé et coordonnons le réseau européen EVOLTREE, pérennisant ainsi le travail réalisé entre 2006 et 2010 dans le cadre d'un réseau d'excellence financé par l’Union Européenne « Évolution des arbres comme vecteurs de la biodiversité des écosystèmes terrestres » mis en place dans le cadre du 6ième programme cadre européen et fédérant 25 laboratoires de 15 Pays (coord. A. Kremer).

Nous accueillons de nombreux visiteurs scientifiques du monde entier, avec 15 à 20 séjours de plus d’un mois par an.

Enfin,  nous participons activement à l’IUFRO (Union internationale des instituts de recherche forestière) un réseau international non gouvernemental de scientifiques forestiers. Santiago Gonzalez-Martinez est actuellement coordinateur de la division 2 (Physiologie et Génétique) et Hervé Jactel co-cordinateur de la sous-division 7.3 (entomologie).

>Au plan national, sur la base de nos productions scientifiques dans des revue de rang A, nos principaux collaborateurs académiques sont d’autres équipes d’INRAE, le CNRS (23.7% de nos publications), l’IRD (9.3%), le CIRAD (8.5%), Agro-Paris-Tech (5.3%) et les Universités de Montpellier (9%), Lorraine (7.8%), Clermont Auvergne (7.2%), Paris-Saclay (7%), et Toulouse (5.6%) via leurs associations dans des UMR.

Nous sommes parties prenantes de l'infrastructure nationale des dispositifs de recherche des Établissements travaillant sur la gestion forestière (In-Sylva-France) ainsi que du pilier forêt de l'infrastructure nationale RARe.

Le PEPR FORESTT (co-porté par les unités BIOGECO et ETTIS) constitue actuellement un cadre privilégié de nos coopérations nationales.

> Au plan local, l’UMR a bénéficié de l’opération d’investissements d’avenir. Nous avons fait parti en effet partie de deux laboratoires d’excellence (LabEx COTE que nous avons co-piloté et CEBA) ainsi qu'à un effort de modernisation et d’ouverture de nos infrastructures de recherche (EquipEx XYLOFOREST). Actuellement, c'est dans le cadre de notre participation active au Grand Programme de Recherche "Bordeaux Plant Sciences" de l'IdEx de l'Université de Bordeaux et du Programme Scientifique de Grande Ambition Régional (Grifon, en coordination) sur la gestion des risques multiples en forêts de Nouvelle-Aquitaine que nous renforcerons nos collaborations de proximité.

L’association avec FAUNA, l'observatoire de la faune sauvage de Nouvelle-Aquitaine permet elle de valoriser les relevés faunistiques au sein de nos programmes de recherches et de développer des approches multi-taxons pour l’étude de la biodiversité.

Nous menons par ailleurs une fructueuse collaboration avec une ONG, l’institut européen de la forêt cultivée notamment sur l’analyse des risques et leur gestion en forêts de plantation.

Enfin une équipe de l’UMR (PLEIADE) est associée à l’INRIA de Bordeaux pour développer le calcul scientifique intensif afin de mieux comprendre l’organisation de la biodiversité.